sentier


LA SOUFRANCE VOLONTAIRE
est une chose Grande devant Dieu.

CIT; TOME 26 - LES ÉCRITS DE LUISA PICCARRETA

(09 MAI 1926) Luisa disait: (Extraits des textes)

J’avais lu dans le «premier volume» de mes écrits comment Notre-Seigneur m’avait dit qu’Il voulait que j’accepte de livrer bataille à l’ennemi infernal, dans les dures épreuves auxquelles je me soumettais. 

Alors je me disais : « Il me semble qu’il y a là une contradiction. Parce que Jésus m’a souvent dit que celle qui vit dans sa Divine Volonté n’est sujette ni aux tentations ni aux troubles de l’esprit. Et que l’ennemi n’a pas non plus le pouvoir d’entrer dans le divin Fiat. Car il le brûlerait plus que le feu de l’enfer lui-même. Et pour éviter d’être brûlé davantage, il fuit l’âme qui vit dans le divin Fiat. » Je pensais à cela et à bien d’autres choses. Mon doux Jésus se manifesta en moi et Il me dit : 

Ma fille, tu te trompes, il n’y a pas de contradiction. Tu dois savoir : J’allais t’appeler à vivre de manière toute spéciale dans ma Divine Volonté pour que tu La connaisses et, pour à travers toi, faire connaître la Sainteté de la Vie dans la Divine Volonté afin qu’Elle puisse régner sur la terre. Ainsi il était nécessaire que Je centralise en toi la totalité de la sainteté humaine pour la consommer en toi et donner naissance à la vraie Sainteté de la Vie dans ma Divine Volonté. 

La sainteté dans l’ordre humain devait être le tabouret, le trône de la Sainteté dans l’ordre de ma Divine Volonté. Et c’est pourquoi, dès le début, lorsque Je t’ai appelée à l’état de victime et à tout ce que tu souffrais durant ce temps, Je commençais par te demander si tu accepterais. Lorsque tu avais accepté Je te plaçais dans un état de souffrance. Je voulais de toi une souffrance volontaire et non forcée, parce que c’était ta volonté que Je voulais faire mourir

La souffrance volontaire est quelque chose de grand devant notre suprême Majesté. Par conséquent, par-dessus la mort de ta volonté noyée dans les souffrances, notre Volonté pouvait régner et te disposer à recevoir le grand bien de ses Connaissances. N’est-ce pas ma Souffrance, toute volontaire personne n’aurait pu Me l’imposer qui forma le grand bien de la Rédemption ? 

Ainsi, tout ce que tu as souffert alors n’était rien d’autre que l’accomplissement de l’ordre de sainteté à la manière humaine. C’est pourquoi Je ne t’ai presque rien dit sur la Sainteté de la Vie dans ma Divine Volonté. Car Je voulais finir l’une avant de commencer l’autre. Et J’ai vu que tu ne me refusais rien de ce que Je voulais, même au prix de ta vie. Tu ne me refusais rien Et ta volonté perdait son pouvoir et était continuellement dans l’acte de mourir. 

Alors ma Volonté est entrée et a repris sa Vie en toi. Et à mesure qu’Elle reprenait sa vie, ma Volonté se révélait, en te racontant sa longue histoire, ses peines, et combien Elle aspire à venir régner parmi les créatures. 

Ma parole est vie. A mesure que Je te parlais de mon Fiat, plus qu’un tendre père, Je continuais à former sa Vie en toi. En fait, tu n’aurais jamais pu comprendre ce qui concerne ma Volonté si tu n’avais pas eu sa Vie en toi. Parce qu’ on cherche vraiment à comprendre et à défendre sa propre vie. Ce qui ne forme pas sa propre vie ne vient qu’en second lieu, non en premier. On ne ressent pas alors l’amour véritable que l’on peut avoir pour sa propre vie. 

Ainsi, J’ai pu confier à la Vie même de mon Fiat formée en toi toutes ses connaissances afin de pouvoir former autant de ses Vies dans les créatures. De plus, Je devais faire pour toi ce que J’avais fait moi-même : En venant sur la terre, J’ai observé toutes les lois. Je me suis soumis à tous les sacrifices de l’ancienne loi d’une façon parfaite, comme personne ne l’avait fait jusqu’alors. J’ai tout accompli en Moi, J’ai consommé en mon Humanité toutes les lois et toutes les saintetés de l’ancien monde, Je les ai abolies pour donner naissance à la nouvelle Loi de grâce et à la nouvelle Sainteté que J’apportais sur la terre. 

C’est ce que J’ai fait avec toi. J’ai centralisé en toi les souffrances, les sacrifices, les combats de la sainteté présente afin de la compléter et d’être alors capable de commencer la nouvelle Sainteté de la Vie dans ma Volonté c'est-à-dire, « le Fiat Voluntas Tua sur la terre comme Elle est au ciel ». 

Alors, où sont les contradictions dont tu parles ? Lorsque l’âme entre dans ma Volonté pour vivre en Elle une vie éternelle, l’ennemi ne peut s’en approcher, son regard est aveuglé par la Lumière de mon Fiat et il ne voit pas non plus ce que fait l’heureuse créature dans cette Divine Lumière. La lumière se protège contre tout, elle domine tout, elle est intangible, elle ne se laisse pas offenser et elle n’offense personne. 

Et si quelqu’un voulait la toucher ou la prendre dans ses mains, elle s’échappe comme par enchantement et, presque par jeu, elle le recouvre de lumière. La lumière touche tout, embrasse tout, fait du bien à tout, mais elle ne se laisse toucher par personne. Telle est ma Divine Volonté. Elle enferme l’âme dans sa Lumière. Par son empire Elle éclipse tous les maux. 

Comme l’âme vit dans la Lumière, tout se convertit en Lumière, en Sainteté et en Paix éternelle. 

Ainsi, les maux s’égarent et se perdent. Troubles, tentations, passions, péché, tout reste sur place les jambes brisées et incapable de marcher. Par conséquent, sois attentive et que ta vie dans mon Fiat soit continuelle.



Pourquoi pouvons-nous parler et enseigner 
les écrits de Luisa Piccarreta ?

Parce que son processus de béatification est en cours et qu’il y a un ensemble d’approbations, de "Nihil Obstat" et de "Non Obstare" qui ont été donnés sous l’obéissance de nos évêques.


Ces écrits manifestent clairement la façon
dont Jésus aimes les âmes.

CIT; TOME 4 - LES ÉCRITS DE LUISA PICCARRETA

(10 OCTOBRE 1900) Luisa disait: (Extraits des textes)

Pendant que j'écrivais, cette pensée monta en moi: «Qui sait combien il y a de sottises dans ces écrits? Ils méritent d'être jetés au feu

Pendant que je pensais ainsi, Jésus béni bougea en mon intérieur. Il me reprocha d'entretenir ces pensées et me demanda de me rétracter. Il voulait que je cesse d'écrire si je ne me rétractais pas. Il affirmait qu'en pensant ainsi, je m'écartais de la Vérité, alors que la chose la plus essentielle pour une âme, c'est de ne jamais sortir du cercle de la Vérité. 

Il reprit: « Eh bien, comment en arrives-tu à sortir de la Vérité ? » Cela dit, Il se retira en mon intérieur sans plus se faire entendre. Quant à moi, je suis restée comme si j'avais reçu un coup de massue. Je reprends donc ici pour dire ce que je devais dire. Lorsqu'Il est revenu, Jésus béni a riposté à ma pensée en me disant: «Certainement que tes écrits méritent d'être brûlés! Mais, veux-tu savoir dans quel feu? DANS LE FEU DE MON AMOUR.

Car il n'y a pas une page qui ne manifeste clairement la façon dont J’aime les âmes, autant en ce qui te concerne qu'en ce qui concerne le monde. Dans tes écrits, mon Amour trouve un épanchement pour mes préoccupations et pour mes langueurs amoureuses.»





Sans Jésus, il n’y a pas de lumière,
même au plus haut des Cieux.

CIT; TOME 3 - LES ÉCRITS DE LUISA PICCARRETA

(20 FÉVRIER 1900) Luisa disait: (Extraits des textes)

Sans Jésus, il n'y a pas de lumière, même au plus haut des Cieux. Mon Jésus béni continuait de venir. Après que j'eus communié, Il renouvela en moi les douleurs de la crucifixion.

J'en étais si atteinte que je ressentais le besoin d'un soulagement. Mais je n'ai pas osé le demander. Un peu plus tard, Jésus revint, Il me dit: «Je suis la fleur du Paradis céleste Le parfum que J'exhale est tel que tout le Ciel en est parfumé. Je suis la Lumière qui éclaire tout le Ciel. Tous sont imprégnés de cette Lumière.

Mes saints tirent de Moi leurs petites lampes. Il n'y a pas de lumière au Paradis qui ne soit tirée de cette Lumière.» Ah oui! Il n'y a pas de parfum de vertu sans Jésus. Sans Lui, il n'y a pas de lumière, même au plus haut des cieux.




BIOGRAPHIE DE LUISA PICCARRETA
«ÉCRITS DE LUISA PICCARRETA»

23 avril 1865 - 4 mars 1947

Également connue sous le nom de «Petite Fille de la Divine Volonté», est un auteur et une mystique italienne. Un procès est en cours pour sa béatification en tant que bienheureuse de l'Église catholique. Elle eut pour quelque temps comme confesseur saint Hannibal Marie Di Francia. Sa spiritualité était centrée sur l'union avec la «Divine Volonté.

Luisa Piccarreta naît à Corato (Bari) le 23 avril 1865 des parents Vito Nicolas et Rosa Tarantino. Son père est métayer et travaille dans une ferme à 27 kms de Corato. Très jeune, Luisa a l’habitude de se retirer dans le tronc percé d’un murier où elle se livre à la prière pendant de longues heures. Elle fait sa première communion à 9 ans et entre dès lors dans une relation de grande intimité avec le Seigneur. À 11 ans, elle devient membre d’une association mariale puis tertiaire dominicaine.

 

Son intimité avec la Vierge Marie grandit et s’intensifie. Elle vit une vie rigoureuse de prière et est gratifiée de phénomènes surnaturels. Elle a la vision constante de la Vierge qui très souvent intervient pour la soulager des nombreuses souffrances physiques et des attaques des forces du mal. Elle s’offre sans cesse au Seigneur pour le salut des âmes : elle a déjà une grande conscience de l’urgence de cette offrande. Vers l’âge de 18 ans, de son balcon de la via Sauro, elle a la vision de Jésus souffrant ployé sous le poids de sa croix au milieu d’une grande foule, qui la regarde et lui dit : « ÂME, AIDE-MOI ! ».


"Elle lui répond, FIAT"

Commence alors pour elle une vie de souffrances physiques et morales de grande intensité. Elle sera alors habitée d’un insatiable désir de souffrir et de s’offrir à Jésus pour qu’aucune âme ne se perde. L’intensification de ses souffrances la conduira progressivement à un état de paralysie et d’immobilité radicale. Puis vinrent les stigmates invisibles, le mariage mystique et les persécutions provenant très souvent des prêtres qui ne comprenaient pas ces phénomènes mystiques et considéraient tout cela comme de l’imposture. Son archevêque de l’époque, Mgr Giuseppe Bianchi Dottula (22 déc. 1848; 22 sept. 1892) délégua un confesseur personnel en la personne de Don Michele de Benedictis à qui Luisa va s’ouvrir en profondeur. Don Michele impose alors une limite à ses souffrances et lui ordonne de manger au moins une fois par jour même si elle devait immédiatement rejeter ce qu’elle avait ingurgité. Luisa va alors passer les 65 dernières années de sa vie dans l’inédie (phénomène extraordinaire qui consiste à vivre sans se nourrir et sans boire). Dès 1888, elle garde le lit pour toujours comme victime d’expiation pour le salut des âmes et pour l’avènement du divin FIAT dans les créatures. Elle vit quasi quotidiennement la Passion de notre Seigneur et reçoit de lui des enseignements sur la vie dans la Divine Volonté.

 

Ces enseignements commencent en février 1899 et s’achèvent le 28 décembre 1939. Ils sont consignés dans 36 volumes aujourd’hui publiés dans les grandes langues avec le « Nihil obstat » de la Congrégation pour la doctrine de la foi, accordé le 28 mars 1994 par le préfet d’alors, le cardinal Joseph Ratzinger devenu le Pape Benoît XVI en 2005.



LE NOTRE PÈRE - DANS LA DIVINE VOLONTÉ

Jésus Christ est venu pour renouer le lien
entre Dieu et l’homme.

CIT; TOME 4 - LES ÉCRITS DE LUISA PICCARRETA

(30 OCTOBRE 1902) Extrait du texte:

Je me souviens à peine des Paroles suivantes : « En détruisant le lien de l'obéissance que Dieu avait établi entre Lui et la créature, un lien unique unissant Dieu et l'homme, notre humanité a été dispersée. » 

«En prenant notre nature humaine et en se faisant notre Tête, Jésus Christ est venu pour rassembler l'humanité dispersée. Grâce à son obéissance à la Volonté du Père, Il est venu pour lier une nouvelle fois Dieu et l'homme. Cependant, cette union indissoluble se renforce selon la mesure de notre obéissance à la Volonté Divine





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PRÉSENTATION D'UN DES NOMBREUX TÉMOIGNAGES
AMEN FIAT - LA DIVINE VOLONTÉ



LE RENOUVELLEMENT DU MONDE

Privations, lamentations et nécessité des châtiments.

CIT; TOME 4 - LES ÉCRITS DE LUISA PICCARRETA

(10 AOÛT 1902) Jésus me dit: (Extrait du texte)

« Ma fille, si tu ne connaissais pas la cause de mon absence, tu aurais peut-être quelque raison de te plaindre de ma privation.

Si J'acceptais de toi la satisfaction pour la dette du monde, le monde ne ferait rien d'autre que de s'endurcir toujours davantage dans le mal. Pendant ces temps de rébellion, les ténèbres se feraient tellement denses que tous seraient dans la noirceur.

Qu'adviendra-t-il de ce pauvre monde ?

Il y a beaucoup à réfléchir au sujet des bien tristes choses qui s'en viennent. »




ABBÉ MAURICE ZUNDEL: DIEU, JE LE VIS
Un Grand mystique des temps modernes.
(30 minutes d'écoute qui peuvent changer une vie)


La lecture des tomes de Luisa
à la lumière des écrits de Sainte-Thérèse d'Avilla !



 
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